L’attraction planétaire garde la chaleur au sol.
La deuxième loi de Newton, sous la forme F = m.a, exprime que la force avec laquelle un objet est attiré vers le centre d'une planète est directement proportionnelle à la masse de cet objet et à l'accélération planétaire. (Dans le cas de la Terre, cette accélération vaut 9.81 m/s^2).
La force de gravité d’une planète attire vers son sol les molécules atmosphériques, créant la pression atmosphérique. Plus on est près de la surface et plus il y a de molécules, et donc plus grande est la capacité de l’atmosphère à pouvoir emmagasiner de la chaleur.
Si la masse est la raison par laquelle la chaleur se maintient en quantité sur une planète (= cause directe), l'attraction planétaire en est le moteur premier (= cause indirecte). La 2° loi de Newton est responsable de l'effet progressif de masse atmosphérique qui à son tour explique le profile de la chaleur et la rétention de celle-ci sur une planète.
F = m.a est la condition nécessaire et suffisante pour expliquer pourquoi la chaleur ne s'échappe pas dans l'espace.
F = m.a est la condition nécessaire et suffisante pour expliquer la base sur laquelle ne repose pas la théorie de l’effet de serre. Le mécanisme fondamental grâce auquel nous avons chaud n’est pas celui d'un toit de serre mais bien celui de l’attraction de masse.
La majorité des phénomènes thermiques, en terme de quantité, se déroulent à faible altitude : puisque les molécules sont plus nombreuses près de la surface, les transmissions de chaleur entre elles sont elles aussi plus nombreuses à proximité du sol. Que ce soit par rayonnement, conduction, ou convection, que ce soit par le biais de la chaleur latente,... tout phénomène est d'autant plus consistant que l'altitude à laquelle il se déroule est basse.