Effet de serre et théorie de l'effet de serre.
Comme vous allez le constater, ce qui se passe réellement dans une serre de jardin ne fait pas appel à la théorie de l'effet de serre, mais à un mécanisme beaucoup plus simple et que vous pouvez vérifier par vous-même.
1. La réalité de la serre de jardin.
L'expérience suivante est élémentaire mais cruciale : lorsque vous vous mettez derrière une vitre face au soleil, vous recevez la chaleur de celui-ci. Cela prouve que le rayonnement infrarouge chauffant traverse la vitre et vient réchauffer votre peau. Il serait impensable de croire que votre peau recevrait essentiellement des rayons non chauffants et qu'elle les transformerait ensuite en chaleur sensible! La réalité est évidemment beaucoup plus simple : vous recevez directement la chaleur du soleil.
Dans une serre de jardin, le rayonnement infrarouge chauffant traverse donc les vitres et vient réchauffer les différents matériaux se trouvant dans la serre, d'autant plus facilement que ceux-ci sont sombres. Les matériaux réchauffent ensuite l'air de la serre (par convection, conduction, et rayonnement). Et enfin, la chaleur reste dans la serre simplement parce l'air est emprisonné par le toit en dur de la serre : il y a absence de convection entre l'intérieur et l'extérieur.
Et si la température n'augmente pas trop dans la serre, c'est notamment parce que le même phénomène de rayonnement se produit en sens inverse : les matériaux chauffés émettent aussi des infrarouges chauffants (de longueurs d'onde différentes) qui traversent les vitres. Celles-ci font également perdre de la chaleur à la serre par conduction et par rayonnement. Malgré cela, la chaleur peut encore être trop importante pour la viabilité des cultures, ce qui explique la présence de trappes dans les toits des serres : leur utilité est de laisser s'échapper l'excédent de chaleur qui au sinon provoquerait le dépérissement des cultures.
Que la vitre soit faite en verre ou en plastique, les rayons infrarouges chauffants la traversent. Plus la vitre est transparente, plus les infrarouges chauffants la traversent. Comme pour les nuages.
Pour être plus précis, il faut donc remarquer qu'il y a toujours un pourcentage d'infrarouges chauffants qui ne traverse pas la vitre : la traversée à 100% ne peut pas exister car la vitre, même transparente, est faite d'une certaine quantité de matière visible qui va tout de même absorber ou réfléchir quelque peu ces infrarouges chauffants. Et effectivement, les vitres chauffent un peu, même si cela est beaucoup moins que les autres matériaux de la serre. Le constat général reste le suivant : plus la vitre est propre, fine, claire, légère,... moins elle a la capacité d'intercepter le rayonnement infrarouge chauffant.
Dans une serre de jardin, le rayonnement infrarouge chauffant traverse donc les vitres et vient réchauffer les différents matériaux se trouvant dans la serre, d'autant plus facilement que ceux-ci sont sombres. Les matériaux réchauffent ensuite l'air de la serre (par convection, conduction, et rayonnement). Et enfin, la chaleur reste dans la serre simplement parce l'air est emprisonné par le toit en dur de la serre : il y a absence de convection entre l'intérieur et l'extérieur.
Et si la température n'augmente pas trop dans la serre, c'est notamment parce que le même phénomène de rayonnement se produit en sens inverse : les matériaux chauffés émettent aussi des infrarouges chauffants (de longueurs d'onde différentes) qui traversent les vitres. Celles-ci font également perdre de la chaleur à la serre par conduction et par rayonnement. Malgré cela, la chaleur peut encore être trop importante pour la viabilité des cultures, ce qui explique la présence de trappes dans les toits des serres : leur utilité est de laisser s'échapper l'excédent de chaleur qui au sinon provoquerait le dépérissement des cultures.
Que la vitre soit faite en verre ou en plastique, les rayons infrarouges chauffants la traversent. Plus la vitre est transparente, plus les infrarouges chauffants la traversent. Comme pour les nuages.
Pour être plus précis, il faut donc remarquer qu'il y a toujours un pourcentage d'infrarouges chauffants qui ne traverse pas la vitre : la traversée à 100% ne peut pas exister car la vitre, même transparente, est faite d'une certaine quantité de matière visible qui va tout de même absorber ou réfléchir quelque peu ces infrarouges chauffants. Et effectivement, les vitres chauffent un peu, même si cela est beaucoup moins que les autres matériaux de la serre. Le constat général reste le suivant : plus la vitre est propre, fine, claire, légère,... moins elle a la capacité d'intercepter le rayonnement infrarouge chauffant.
2. La théorie de l'effet de serre de jardin.
Au contraire, la théorie affirme que les rayons infrarouges chauffants sont fortement bloqués par les vitres. Voici alors comment la chaleur se crée, par la théorie, dans la serre de jardin :
Les infrarouges chauffants sont donc supposés fortement bloqués ou réfléchis par la vitre, seuls les rayons non chauffants la traversent en quantité. Les matériaux reçoivent essentiellement ces rayons non chauffants et les transforment en rayons chauffants. C'est donc ici que se situe le stratagème. Il existe dès lors une grande quantité de nouveaux rayons chauffants dans la serre, et ils sont à leur tour bloqués par les vitres puisque c'est précisément l'hypothèse de départ.
C'est cette création d'infrarouges chauffants faite à l'intérieur de la serre qui explique, dans la théorie, pourquoi la serre de jardin chauffe, alors que, dans l'observation, les infrarouges chauffants viennent en premier lieu de l'extérieur.
A partir du moment où les infrarouges chauffants viennent effectivement de l'extérieur et où la chaleur ainsi apportée est maintenue par les parois de la serre, ces deux conditions sont alors suffisantes pour expliquer l'échauffement d'une serre, et il n'y a donc pas besoin de faire appel à des rayons non chauffants se transformant en infrarouges chauffants.
Les infrarouges chauffants sont donc supposés fortement bloqués ou réfléchis par la vitre, seuls les rayons non chauffants la traversent en quantité. Les matériaux reçoivent essentiellement ces rayons non chauffants et les transforment en rayons chauffants. C'est donc ici que se situe le stratagème. Il existe dès lors une grande quantité de nouveaux rayons chauffants dans la serre, et ils sont à leur tour bloqués par les vitres puisque c'est précisément l'hypothèse de départ.
C'est cette création d'infrarouges chauffants faite à l'intérieur de la serre qui explique, dans la théorie, pourquoi la serre de jardin chauffe, alors que, dans l'observation, les infrarouges chauffants viennent en premier lieu de l'extérieur.
A partir du moment où les infrarouges chauffants viennent effectivement de l'extérieur et où la chaleur ainsi apportée est maintenue par les parois de la serre, ces deux conditions sont alors suffisantes pour expliquer l'échauffement d'une serre, et il n'y a donc pas besoin de faire appel à des rayons non chauffants se transformant en infrarouges chauffants.
3. La théorie de l'effet de serre atmosphérique.
Après avoir créé en quantité des infrarouges chauffants par la théorie, la deuxième étape consiste à montrer qu'il existerait l'équivalent d'un toit de serre dans l'atmosphère d'une planète qui reproduirait le même mécanisme que celui supposé dans la serre de jardin. C'est-à-dire qu'il suffit ensuite de trouver une logique théorique montrant que certains gaz se comporteraient comme le toit d'une serre.
Or vous avez vu que l'effet progressif de masse atmosphérique constitue le mécanisme central qui maintient physiquement la chaleur sur une planète.
Autour de celui-ci, vous avez vu également plusieurs mécanismes secondaires qui eux aussi occupent concrètement la place que l'on voudrait accorder à l'effet de serre : la masse et la nature des sols, les caractéristiques des masses d'air apportées par les vents, et la chaleur latente de l'eau qui interagit avec ces deux explications. Tout cela se déroulant à proximité du sol, et non à haute altitude.
La réalité observable sur toutes les planètes est un effet de masse et non un effet de serre introduit par l'image d'un effet de toit. Il y a là abus de langage.
Étant donné que les mesures et observations directes expliquent facilement la rétention de la chaleur sur une planète, il n'y a plus lieu de vouloir faire appel à un effet de serre qui perd donc son fondement.
Puisque tous les cas concrets faisant appel à la chaleur, qu'ils soient météorologiques ou climatologiques, s'expliquent autrement que par un supposé effet de toit, comment est-on alors parvenu à trouver des logiques démontrant la théorie de l'effet de serre? Plus les théories sont compliquées et moins on a de prises sur le réel. Plus on fait intervenir un ensemble d'arguments complexes, moins on a la possibilité de se référer et de comparer directement avec la réalité. La complexification met de la distance entre la théorie et la réalité, et empêche de vérifier facilement si la théorie, vraie pour elle-même, peut être vraie également dans l'absolu.
Pour les détails sur les erreurs et manquements de la théorie de l'effet de serre, vous trouverez en quantité des informations de qualité sur le site d'un ancien directeur de recherche du Centre National de la Recherche Scientifique : http://pensee-unique.fr/
Voir aussi: http://www.horizons-et-debats.ch/index.php?id=3316
Or vous avez vu que l'effet progressif de masse atmosphérique constitue le mécanisme central qui maintient physiquement la chaleur sur une planète.
Autour de celui-ci, vous avez vu également plusieurs mécanismes secondaires qui eux aussi occupent concrètement la place que l'on voudrait accorder à l'effet de serre : la masse et la nature des sols, les caractéristiques des masses d'air apportées par les vents, et la chaleur latente de l'eau qui interagit avec ces deux explications. Tout cela se déroulant à proximité du sol, et non à haute altitude.
La réalité observable sur toutes les planètes est un effet de masse et non un effet de serre introduit par l'image d'un effet de toit. Il y a là abus de langage.
Étant donné que les mesures et observations directes expliquent facilement la rétention de la chaleur sur une planète, il n'y a plus lieu de vouloir faire appel à un effet de serre qui perd donc son fondement.
Puisque tous les cas concrets faisant appel à la chaleur, qu'ils soient météorologiques ou climatologiques, s'expliquent autrement que par un supposé effet de toit, comment est-on alors parvenu à trouver des logiques démontrant la théorie de l'effet de serre? Plus les théories sont compliquées et moins on a de prises sur le réel. Plus on fait intervenir un ensemble d'arguments complexes, moins on a la possibilité de se référer et de comparer directement avec la réalité. La complexification met de la distance entre la théorie et la réalité, et empêche de vérifier facilement si la théorie, vraie pour elle-même, peut être vraie également dans l'absolu.
Pour les détails sur les erreurs et manquements de la théorie de l'effet de serre, vous trouverez en quantité des informations de qualité sur le site d'un ancien directeur de recherche du Centre National de la Recherche Scientifique : http://pensee-unique.fr/
Voir aussi: http://www.horizons-et-debats.ch/index.php?id=3316